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Les auteurs pourront-ils se passer d'éditeur ? se demande
Guillaume Grallet
dans l'Express du 28 février 2008.
Pour répondre : "C'est l'un des cauchemars du monde de l'édition : et si les romanciers publiaient directement leurs livres sur support numérique sans s'encombrer d'un éditeur qui ponctionne une grosse partie des royalties au passage ? "
Je suis même devenu rentable (après avoir été viré du Rmi pour projet non cohérent !!!... Vous comprenez pourquoi la France s'effondre, à force de regarder en arrière sans être capable de comprendre les mutations du monde...)
Je continue ma route. Et si vous ne me voyez pas dans les salons du livre de la région ni dans vos vieux médias... vous n'avez qu'à vous en prendre à vos sommités !... (lien vers le salon du livre du net ... que j'ai créé... salondulivre.net)
Soljenitsyne avait déjà compris :
"Nulle part, aucun régime n'a jamais aimé ses grands écrivains, seulement les petits." Vous auriez préféré une citation de Maurice Faure ?
Stéphane Ternoise, écrivain dans le département du Lot... Totalement impliqué dans la révolution numérique...
Les "écrivain lotois" acceptent souvent de participer à des "salons du livre" en payant leur place... Mes "conditions" n'ont pourtant rien d'exceptionnel... quelle profession accepterait de travailler ainsi quasi bénévolement ?...
Ecrivain professionnel et totalement indépendant (profession libérale non
subventionnée), un défraiement, le repas, et une vente sans intermédiaire ni frais d'emplacement, constituent
naturellement le minimum. La distance ne rendant pas nécessaire un hébergement à moins de 150 kilomètres.
Je peux également envisager une intervention publique sous diverses formes (étant devenu, avec l'âge, le spécialiste de l'édition vraiment indépendante...)
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